i Sintineddi 26 août
C’est pas que j’y crois, mais comme il ne faut rien rejeter d’emblée :
La 650 parait trop simpliste, une bête recherche, a moins de 3 bornes a l’Est d’une nef pour débusquer des sentinelles ?…
En y regardant de plus près, on trouve quand même 2 choses étranges :
- - les 3 phrases de l’énigme ont pour initiale D A T
- - la notion de «elles t’attendent», à nouveau le temps qui passe.
Il existe en Corse du sud un site préhistorique occupé à partir du néolithique et au début de l’ âge du bronze. Sur le site officiel, vous trouverez la mention « 8000 ans d’âge », 8000 !!
Le site de Filitosa contient notamment l’alignement des cinq statues-menhirs redressées dans la vallée au pied de l’olivier millénaire, (Filitosa III, Filitosa IV, Filitosa I, Tappa I, Filitosa II). Ces statues sont les premières remarquées à Filitosa. Remarquez que je parle de statues et non de simples menhirs car ils (ou elles) ont la particularité d’être anthropomorphes, vous connaissez les lapsus de Max sur le sujet, et des menhirs anthropomorphes, on n’en trouve pas dans toutes les régions (Rouergue, Gard, Provence, Corse).
Un personnage avec une pelle, un archéologue ?
« i Sintineddi » ces sentinelles ne sont pas une révélation pour les spécialistes ou même les passionnés de « vieilles pierres » ni pour la majorité des habitants de l’île de beauté.
Di ciò chi ùn hè storia tiniti li sicreti…
De ce qui n’était pas encore l’histoire vous gardez les secrets…
Le groupe corse « Canta u Populu Corsu » a écrit une chanson sur ce sujet, paroles ci-dessous, une âme charitable me donnera la traduction ?
Sintineddi (F. Lanfranchi & N. Luciani/E. Gineste)
Tali un ochju lampatu à u mare latinu
O una mani porsa à l’imperi à liventi
Un sognu maladettu d’eternu scarpiddinu
O una chjama antica chi più nimu n’ùn senti
Tali i voci chi funu da culandi à l’ora
E li visi di petra chi dissinu di nò
Quidda sumiglia strana chi ùn si volsi mora
E l’idea chi tandu tuttu quì principiò
Tali a mani chi vensi in tempu d’ancu à fà
E vi feci d’altura cù quiddu arti supranu
Un era ancu lu mondu é n’erati digià
Guardiani impitrati di u ricordu umanu
Tali l’abbracciu primu chi u silenziu vi deti
E li sapienzi arcani cù li so canti immersi
Di ciò chì ùn hè storia tiniti li sicreti
Tali una citatella chi a mimoria persi








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