reverse engineering

Je me suis agacé a voir comment Max avait pu s’y prendre pour mettre en musique les 10 villes de la 580.  La 1ere conclusion, c’est que c’est vachement coton de prétendre avoir suivi ses traces, il y a énormément de paramètres qui influent, le plus évident étant qu’on ne sait pas exactement ce qu’il voulait faire, seul le bouquin des soluces pourra nous préciser cela. 

Ceci dit en préambule (ca ne mange pas de pain ;) ), des petites choses à gratter quand même : 
- une des finalités de cette affaire est de nous fournir le code A=0. 
- il aurait pu le faire avec des personnages, des départements, des pays, des animaux, … il l’a fait avec des villes. Bon, admettons que ce choix n’est pas innocent mais lui est imposé par un autre truc qu’il veut nous glisser. 
- dans sa chasse nous retrouverons Bourges et Cherbourg, admettons qu’il trouve élégant de les réutiliser. On pourra me rétorquer qu’alors il fallait ne pas lésiner a réutiliser Golfe-Juan, mais l’élégance a ses limites, il ne fallait quand même pas déflorer complètement le livre ce qui se serait produit avec l’énigme 420 qui perdait ainsi tout son jus. 
- admettons aussi que par élégance il cherche à produire une figure pas trop pourrie couvrant une grande partie de
la France, un enchainement « propre », pas un simple « gribouillage » avec pleins d’entrelacs et de droites entremêlées. Une figure qui semble avoir un sens, ca entretient le doute des chercheurs, une vague allusion a une spirale et ce sera parfait … 

- les contraintes commencent à s’empiler, mais fi, Max est homme à relever le défi. 
- L’idée c’est quand même de prendre des villes plutôt connues (dans la veine de Bourges, et Cherbourg, respectivement préfecture et sous préfecture, forcément riche en histoire, facile a positionner sur une carte). Soyons pragmatique, on va les prendre dans l’ordre, de la méthode en toutes choses … 

A … on cherche grosso modo dans le secteur « brest-bordeaux », vu mes contraintes de départ, je me dois de trouver mon bonheur la dedans. Bingo, Angers s’impose assez vite, préfecture, ni trop haut ni trop bas. 
B et C c’est fait. 
D … on cherche dans les préfectures, Dijon ? Non trop bas, plan B, les sous-préfectures Dieppe, Douai Dunkerque Dreux ? Bon, Dieppe est sans doute un bon compromis. 
E … pas simple, préfecture Epinal, Evreux, Evry, bof bof, sous-préfecture Epernay, Etampes ? Epernay tient la rampe, ca va le faire. 
F … Foix hors jeu, reste Forbach et d’autres sous préfectures complètement « a l’ouest », va pour Forbach. 
G … les préfectures sont « a l’ouest », Guebwiller, c’est bien ca … ben non, Max préfère Gérardmer, une simple ville, 1ere exception. 
H … pas de préfecture, Haguenau ? Non trop haut, tant pis on prend une simple ville encore, Héricourt, Hirsingue ? bah le 1er le fera bien. 
I … pas de préfecture, une sous préfecture Issoire, mince elle est faiblarde celle là, dans le cryptage que j’ai prévu, elle est même très faiblarde, tant pis ma pauvre Lucette, c’est le jeu. (ce point pour mettre en avant que les choix atypiques ne sont pas forcément imposés par une volonté de « durcir » le codage) 
J … pas de préfecture, Jonzac, très bien Jonzac, ben non … Max prend Jarnac. 

Envisageons que les choses se soient enchainées à peu près selon ce schéma : 
=> On voit que les contraintes ne sont pas insurmontables, il y a même de la marge. 
=> On voit aussi qu’alors il est clair que la problématique Barycentre est impensable à inclure, on voit l’effort qui a été fait pour rester dans des préfectures et sous préfecture (sans parler de cramer les 2 cartouches que sont Bourges et Cherbourg, ce qui obligerait la mécanique maxienne a compenser sur les 8 villes restantes la tendance imposée par ces 2 villes). 
=> On envisage mal comment cette cochonceté pourrait camoufler en son sein des reliquats encapsulés dans un décryptage de 2eme niveau puisque le choix des items ne semble correspondre qu’a une logique relativement « faible » et pas vicelarde pour un sou. 
=> On voit que Gérardmer et Jarnac cache un petit truc néanmoins. 
=> Héricourt, ben c’est pas sa faute, pas de préfecture, une seule sous préfecture, ca devenait le maillon faible, il fallait tout reconstruire pour une seule ville ? Au risque de trop batailler ou trop décentrer l’ensemble ? Alors que de toute façon j’ai déjà une touche avec Gérardmer ? 
=> Dieppe, peut aussi être intrigant surtout quand plus tard on comprendra l’importance des zones « frontière » (Roncevaux, Carignan, Golfe Juan, Cherbourg). 
=> Même phénomène avec Forbach (6 villes frontières, 3 maritimes, 3 terrestres, le tout distribué de manière plutôt symétrique) 
=> Angers et Forbach seront ensuite aussi sur la sellette par l’alliage de A et F. Sans parler de ce curieux croisement avec la ligne RBC … Pourtant bizarrement on a vu plus haut que leur choix « coulait de source ». 
=> Si on considère enfin le point dans l’ouverture par lequel passe le grand X, on ne pourra pas louper le parallélisme entre AF et BG, ni ne pas noter l’alignement FBJ qui finit a Sandander, une fois n’est pas coutume … jouons sur les mots … phonétiquement … santander … s’entendre ? 
=> Constructions qui font justement intervenir les villes « atypiques », dont on remarquera aussi qu’elles ne sont vraiment pas très éloignées des villes « éligibles ». Comme si finalement le fait de déroger a la règle des préfectures n’était qu’une petite retouche de Max pour parfaire l’esthétique globale, un petit caprice ne prêtant pas vraiment a conséquence. 
=> Pour le dire plus clairement, on remarque que la ligne FA est franchement incontournable et que justement les villes les plus « atypiques » ne sont là que pour renforcer la présence de ces 2 villes. Mais aussi la cohérence du grand X avec cette intersection très précise au SE de bourges, ne parlons pas du croisement RBC avec FA a l’endroit exact que viendra frapper une perpendiculaire a RBC venant de Dieppe, appelons ce point « lumière » sur la riviere Aube. Accessoirement Gérardmer Carignan Epernay a angle droit, Gérardmer Epernay Dieppe en alignement potable, Cherbourg Lumière Gérardmer aussi, mais les coïncidences ca existent, la preuve ? Mais tout ceci bien sur. 

Mais ok, si ce sont des coïncidences, alors c’est qu’il est trop simple d’en trouver dans la nature, pouvez-vous m’en proposer d’autres basées sur les autres villes de la 580 ? 

Et si ce ne sont pas que des coïncidences … Alors nous pouvons compléter l’inventaire des finalités de la 580 : 
- une des finalités de cette affaire est de nous fournir le code A=0. 
- une autre finalité facultative : servir de confirmation pour Bourges et Cherbourg. Servir aussi a étayer le grand X. 
- une autre finalité (la plus importante ?), mettre en avant la ligne de FA, et Dieppe et par ces 3 points nous confirmer la lumière.



Nef versus NNP

- beaucoup de NNP ont été envisagés et diffusés sur la toile. Il est possible que le bon y soit ?
- beaucoup de Nef ont été envisagées et diffusées sur la toile. Il est possible que la bonne y soit ?
- il est même raisonnable de penser que Max a au moins eu connaissance que l’un des 2 a été évoqué publiquement sur les lieux d’échanges des chercheurs. Difficile en effet de rester droit dans ses bottes si 10 ans après le début de la chasse, vous avez la désagréable impression qu’une info aussi déterminante ne soit trouvée par aucun chercheur, comment alors pouvoir affirmer que si tous les chercheurs unissaient leurs efforts blablabla …
- beaucoup de chercheurs n’avaient pas eux même envisagés ces éléments.
- on a donc assisté a une sorte d’essaimage : des chercheurs ont vérifié que telles ou telles solutions pouvaient ou non trouver un écho dans leurs propres pistes.
- si Nef = NNP, cela multiplie les chances que cet essaimage porte ses fruits.
Il semble qu’il n’en est rien, il est donc plus simple d’envisager l’hypothèse Nef <> NNP.
Hypothèse qui permet d’envisager un NNP qui n’existe pas physiquement, ce qui offre de multiples possibilités.

Quant à l’IS « née clé en main », initialement dans l’esprit de Max cette IS était intégrée dans une énigme. Laquelle ? Bonne question, la réponse la plus probable est qu’elle était englobée  en 600 non ? Admettons, mais alors il est clair qu’elle n’aide pas de résoudre la 600 car à ce stade nous n’étions pas sensés connaître l’expression nef encalminée (même principe que l’anagramme « vestige de navire » en 530 qui arrive trop tôt). Admettons maintenant qu’elle était englobée en 560, mais alors elle n’aide toujours pas la 600 qui est sensée être déjà résolue, par contre elle arrive à point nommé pour comprendre en 560 que la 600 nous doit un indice. AMHA, cet indice a lui-même été relayé en clair dans une autre IS : une baie dans
la MANCHE …

Petit madit que j’aime bien si on considère que la manche est bien cachée dans le visuel 600

QUESTION No 27 DU 1997-05-12
TITRE: Z CLEF
L’IS « NEE CLE EN MAIN » NE SERAIT-IL PAS
LA POUR METTRE AU CLAIR QUELQUE CHOSE QUI SE TROUVE DANS LE LIVRE, MAIS DE FACON BIEN TROP CACHEE ? == Zou
——————————————————————————–
SI JE LIS VOTRE QUESTION AU PREMIER DEGRE, JE VOUS REPONDS SANS HESITATION PAR L’AFFIRMATIVE. ET JE LIS TOUJOURS LES QUESTIONS AU PREMIER DEGRE ! AMITIES — MAX

Au fait, en parlant de baie, une petite définition wiki : Une baie est aussi une ouverture dans un mur. Et si a Carusburc, il fallait chercher une baie qui révèle la lumière céleste ? « Saint Michel Archange, Prince très glorieux de
la Milice céleste gardez-moi fidèle au service de Dieu et de mes frères, afin de m’introduire dans la lumière du Ciel ».

Dixit Wiki, la baie du mont St Michel va de Cancale a l’Ouest jusqu’à Carolles au Nord, pas simple d’aligner 2Z dans ce secteur si on cherche à les prolonger jusqu’en mer Cantabrique (ce n’est que mon avis), le secteur le plus simple étant encore celui qui nous mène droit sur Hernani, pas engageant quand on s’attend a une trahison de l’aiguille (ce cap croise la pointe de l’aiguille a l’ouest des Sables d’Olonne). Est t’il concevable qu’un chercheur ne pense pas a Hernani en 560 ? N’est-il pas aussi question de trahison dans cette œuvre ? Sans cette IS sur la trahison, il est effectivement tentant d’envisager ce tracé qui respecte le plein Sud à moins de 5° près. Ce tracé qui passera aussi par le Pellerin et son bac sur
la Loire, ce Pellerin qui nous rappelle le piéton et Compostelle via Roncevaux (c’est d’ailleurs l’origine toponymique de cette commune, un coup d’œil a son blason pour s’en convaincre). Ce bac, nous évitant ainsi une trop forte sollicitation de Neptune. Mais Cébazat.

QUESTION No 6 DU 1999-05-03
TITRE: L AIGUILLE
BBJR MAX, L’AIGUILLE EN QUI J’AI CONFIAN CE AUJOURD’HUI EST-ELLE DE MEME NATURE Q UE CELLE QUI ME TRAHIRA PLUS TARD ? MERCI NAFRETA
——————————————————————————–
OUI ET NON !
LA TRAHISON VIENDRA DE L’AI GUILLE, MAIS INDIRETEMENT. AMITIES – MAX

Comment interprétez vous ce « oui et non » ?
Oui => donc j’ai déjà eu affaire a cette aiguille ? En 780, la boussole ?
Non => donc elle revêt un sens que je n’ai pas encore rencontré ? Un lieu nommé sur le littoral.
Oui ET non => donc prévoir un emboitement des 2, le septentrion n’est pas ce que je crois, et le fait de passer sur ce lieu en est la meilleure démonstration.

QUESTION No 37 DU 2001-10-23
TITRE: trahison
La trahison de l’aiguille est-elle QUANTIFIABLE ?
——————————————————————————–
A CONDITION QUE MON ACCEPTION DE « QUANTI FIABLE » SOIT
LA MEME QUE
LA VOTRE,
LA REPONSE EST OUI. AMITIES – MAX

Si la trahison de l’aiguille est (entre autre) une déviation du Nord magnétique, alors oui, il est possible de mesurer cet angle. Une question intéressante serait de savoir a quel moment cette mesure devient possible : en début d’énigme ? En cours d’énigme ? En fin d’énigme ? (énigme étant 560 dans cette hypothèse). Mais si une telle trahison intervient en 560, il est alors probable qu’elle se prolonge ensuite en 650 … Où par hasard, il est aussi question d’une orientation géographique.



La légende du Prince noir de Dabo

 On raconte qu’un trésor est caché quelque part à Dabo : peut-être dans un souterrain ou dans un puits ?
C’est le trésor du Prince noir.

Il y a très longtemps, un château fort en bois se trouvait sur le rocher de Dabo. Le Prince noir était un homme très méchant et qui voulait devenir très riche. Alors il volait l’argent et l’or des habitants des alentours.
Lorsque quelqu’un ne lui obéissait pas, il le pendait à un arbre avec des cordes.

Louis XIV, le roi soleil, a voulu détruire le château de Dabo. Le colonel de Bois David et ses soldats ont attaqué en mars 1677. Le Prince noir et ses hommes ont défendu le château pendant une semaine.
Un jour, ils ont pris une chèvre morte, ont écrit dessus : « Quand cette chèvre filera, Dabo se rendra. » et l’ont accrochée à la muraille. Mais le château a brûlé et le colonel de Bois David a capturé le Prince noir.
Il n’a pas dit aux hommes où se trouvait le trésor, mais il a parlé ainsi : « Maudits soient ceux qui toucheront à mon trésor ! »

Beaucoup plus tard, deux hommes sont entrés dans un souterrain, ils ont aperçu le trésor, ils sont ressortis sourds et muets. Et ils sont morts deux jours plus tard. Une autre fois, deux bergers se trouvaient près du puits du rocher. Une dame blanche leur a dit de chercher le trésor au fond du puits. Ils ont creusé et ont aperçu des pièces d’or. Mais douze coups de minuit ont sonné à l’église de Dabo et le trésor a disparu au fond du puits.

 Encore aujourd’hui ce trésor se cache quelque part à Dabo, mais on ne sait pas où !!!!

chevaliernoir.jpg

(Un conte rapporté par l’école maternelle de Dabo)



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