Ce we, je feuilletais un chouette bouquin 11 octobre
vulgarisant les grandes découvertes de la physique.
Par hasard (si si je vous jure), je tombe sur la découverte de la vitesse de libération par Newton, et l’article de nous expliquer comment une flèche propulsée a la vitesse ad hoc dans les conditions idoines pouvait alors espérer échapper définitivement à l’attraction gravitationnelle de la terre.
Flèche, vitesse, planète … fusée (apollo) … forcément, je pense à la 420.
Je creuse un peu la question, en butinant de ci de là ce même sujet, et me voilà très vite à pousser le bouchon un peu plus loin : On m’explique que cette vitesse de libération est directement proportionnelle a la masse du corps attracteur et que donc la découverte faite par Newton trouvera ses limites quand interviendra la relativité d’Einstein : aux abords d’un trou noir (corps massif par définition), la courbure de l’espace-temps est telle que même la lumière ne peut pas s’échapper du trou. La vitesse de libération y est alors supérieure à celle de la lumière.
Trou noir … visuel de la 420
Au fait, ce visuel : Un N, un compas
le compas de Newton, mesurant l’univers,
lève enfin ce grand voile, et les cieux sont ouverts.
Voltaire, Epître 51
à madame la marquise du Châtelet
Du ciel vient la lumière qu’il disait … mais tout ceci n’est que coïncidence bien sur.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.