Whoua !!! 1 juin
Ben mince alors …
1000 visites, ca alors,
faut que je mette un truc au frais
A+
Ben mince alors …
1000 visites, ca alors,
faut que je mette un truc au frais
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Que Neptune favorise le voyageur.
Depuis le XIVe siècle, la devise de NANTES était Oculi omnium in te sperant Domine (« Les yeux de tous se tournent vers toi et espèrent, Seigneur »). L’édition du Livre doré de l’Hôtel de Ville de Nantes, de 1752, porte, pour la première fois, la devise : FAVET NEPTUNUS EUNTI, due probablement à Me Bertrand, avocat au Parlement, né à Nantes, qui aimait la poésie latine et recherchait les devises et les jeux d’esprit.En 1814, M. de Barante, préfet de Nantes, en s’occupant de la reprise des anciennes armes de la ville, proposa de substituer : FAVET NEPTUNUS EUNTI, qu’il avait lu, disait-il, sur un ancien écusson de la ville (il ne pouvait cependant être plus ancien que 1752), à l’ancienne devise. Cependant l’ordonnance royale du 26 septembre 1814, permettait aux villes de reprendre leurs anciennes armoiries, et non d’innover. Rien n’ayant été encore décidé en 1815, les lettres patentes du roi Louis XVIII le 3 février 1816, qui prescrivirent le retour aux anciennes armes, ne parlèrent point de la devise. Sur les points non spécifiés, on aurait dû, comme l’écrivit un référendaire au maire, suivre les anciens usages. On ne le fit point et la nouvelle devise, proposée par M. de Barante, fut adoptée.
Il existe à Nantes, la Maison des Compagnons du Devoir du Tour de France qui se situe sur les bords du canal Saint-Félix, à proximité de la gare Sud. Sa haute flèche torse s’élève à l’angle des quais de Malakoff et de Lourmel.
Construite entre 1952 et 1957 par l’architecte Jean Maeder. Le clocheton pentagonal en spirale qui s’élève dans les airs est à la fois un chef d’œuvre de charpente et de couverture. Il tourne de 1/2 tour de gauche à droite (c’est l’enroulement des 3/4 des clochers tors de France qui sont cependant très majoritairement octogonaux). On parle d’enroulement dextre. On recense environ 60 clochers tors en France, mais ils résultent pour beaucoup d’accidents liés au vieillissement tout simplement.C’est ici que nous reparlons de la chouette, et de ce coquillage présent sur le visuel de la 560, mais vous me voyez venir avec Neptune …Pour déterminer facilement le sens d’enroulement d’un coquillage, il suffit de placer l’apex (la pointe) de la coquille vers le haut et son ouverture tournée vers soi : si celle-ci est à droite de l’axe vertical, la coquille est dextre.
La coquille de la grande majorité des espèces est dextre !!
Alors une hypothèse ?
Pourquoi ne pas symboliser les 2Z (2 aides) de Neptune par un trait passant à proximité de Nantes (en laissant Nantes plutôt sur la gauche). Nantes est alors ce coquillage, a cause de sa devise bien sur, aussi a cause de son clocher. Aussi parce qu’alors les 2Z (manche et atlantique) ne nous éloigneraient que très peu des cotes (biotope privilégié des coquillages il me semble). Aussi parce qu’alors les 2Z suivraient une inclinaison de 45° par rapport a un axe Cherbourg – Golfe Juan, axe qui passe par l’ouverture.
Avant de devenir universellement célèbre comme inventeur du télégraphe et
de l’alphabet qui porte son nom, Samuel F.B. Morse avait consacré sa vie aux
Beaux-Arts. Peintre, fondateur et premier président de la National Academy
of Design et premier professeur d’histoire de l’art dans une université, il tient
un rôle essentiel dans l’histoire culturelle américaine.
Morse, fils d’un ministre de la religion réformée, avait été élevé dans une
famille d’intellectuels. Après avoir suivi les premières années d’université à
Yale, il partit en 1811 pour l’Angleterre où il travailla sous la direction de
Washington Allston (1791-1872) et de Benjamin West (1738-1820). De retour
aux Etats-Unis il s’établit comme portraitiste.
C’est en 1831 qu’il entame lors d’un long séjour parisien l’élaboration de la
Galerie du Louvre. Cette peinture était destinée dans l’esprit de Morse à jouer
un rôle didactique autant qu’esthétique. Il souhaitait en une seule oeuvre pouvoir
présenter au public américain les chefs-d’oeuvres du musée, dans l’espoir
de pouvoir à la fois former et élever le goût de ses compatriotes. Il souhaitait
aussi établir définitivement sa réputation. Il s’y représente au centre accoudé à
la chaise. A l’arrière plan, dans le coin gauche, entouré de sa femme et de sa
fille, figure James Fenimore Cooper, l’auteur du Dernier des Mohicans et
grand ami de l’artiste.
La peinture de Morse ne doit pas être regardée comme un témoignage exact
de l’accrochage de 1831. Morse a choisi délibérément d’écarter toute oeuvre
contemporaine mais aussi de privilégier certaines, de les agrandir ou de les
diminuer, de rassembler fictivement des oeuvres qui étaient alors dispersées,
comme aujourd’hui, dans d’autres salles du musée. A quelques années près
des tableaux contemporains permettent de mesurer la liberté prise par le
peintre pour élaborer son oeuvre.
Après son achèvement, la peinture fut exposée à New York. L’accueil fut
décevant et contribua à tourner l’artiste vers la conception du télégraphe et
son alphabet. L’oeuvre n’en reste pas moins l’un des tableaux les plus marquants
de l’histoire de la peinture américaine, tant par son histoire que par les
buts que son auteur lui avait assignés
Bon … faut y retourner, on lui doit bien ca, 16 ans, bordel …
Alors, qu’est-ce qu’on a ?
On a la ligne de FA en 580 car c’est la seule note qu’on peut reconstruire en s’appuyant sur les codes ABCDEFG.
Et aussi parce que le cor de Roland et la contrebasse y font penser.
Le fait que ca vienne couper l’axe RBC sur l’Aube n’est pas non plus pour déplaire.
Ensuite on la retrouve en 600 par l’alliage de Al-mar et Fibule.
Ensuite on la retrouve en 500 car il manque justement la référence a la clé de Fa, car aussi la ligne de FA a une inclinaison qui ressemble vachement au visuel (madit que pas important mais majamaisdit que c’était interdit de se faire plaisir. On repense aussi a l’acrostiche d’Angers en liaison avec Guy qui nous a donné les notes sur le même principe (il nous a aussi donné les clés).
De tout ceci on en déduit que cette ligne de FA n’est pas si innocente que cela …
Mais poursuivons un peu (on n’est plus a un an près):
- le croisement de la ligne de Fa avec l’axe RBC donne un point, ce point relié à Dieppe donne une ortho a RBC. Ca nous fait une DCA et une OCA (ortho connue avant) => ce croisement peut-il être 2424 ? A priori non car 2424 est une ville, en tout ca un lieu nommé sur la 989 (en même temps, a cette endroit on trouve en toute lettre « Aube »).
- alors 2424 est-il Carignan ? En tout cas Max a tout fait pour qu’on s’y penche, FP ? ca y ressemble (c’est quand même la définition d’une autoroute, un morse placardé sur le visuel … 2 spirales carambar a suivre, Ascq et Dabo).
- alors il est où 2424 ? Je reprends ma OCA et la rétrograde au simple rang de DCA, du coup Dieppe peut prétendre au titre de 2424 …
Reste à le décrypter : il existe une théorie qui dit que si j’installe 2424 sur une portée (ligne 2 et 4 de la portée), puis que je relie ces points en ne relevant mon crayon que quand je trouve des tirets, je découvre NIV-JIII, soit N4-J3. Ensuite je poursuis la séquence N4 J3 G2 E1 D0 (N-4=J J-3=G …, terminus voila Dieppe … donc oui, on peut trouver Dieppe dans 2424 (surtout que l’alignement Gerarmer-Epernay-Dieppe nous y amène aussi, enfin le carroyage d’une 989 nous y incite aussi N4 vers J3 on vois bien grosso modo une orientation vers la Manche, entre la baie de la Somme et le pont de Tancarville. Admettons …
Je trace donc mon ortho sur cette OCA rétrogradée, 560606 mesures … et … rien. Laval mais trop loin.
Je me démonte pas pour autant (une DCA passant par Dieppe, j’en ai une autre : la droite de cœur : Roncevaux Blaye Fontevraud Dieppe, une ortho, 560606 mesures … et … rien. Noyon mais trop près.
Qua cela ne tienne, la derniere cartouche : ma ligne Gerardmer-Dieppe, une Ortho, 560606 mesures … et …Angers mais trop loin, Sées, mais trop près.
Des palindromes mais pas de spirale, cherchez l’erreur …
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Me concernant c’est définitivement OUI.
Merci Max.